Cristel respirait doucement, je devinais son éternel petit sourire,
elle avait l’air de dormir le cœur en paix, peut-être aussi épuisée. J’eus soudain l’envie folle de la
réveiller et de l’embrasser fougueusement pour la remercier car, finalement, c’était elle qui avait le plus
donné, qui m’avait fait jouir à plusieurs reprises, et moi, je m’étais contentée de me laisser aimer.
J’essayais de mieux discerner son visage, il avait l’air heureux et détendu pourtant. Ma main glissa le long
de son ventre et se glissa doucement entre ses cuisses, un petit gémissement s’échappa de ses lèvres et ses
jambes s’écartèrent légèrement video sexe.
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video,sexe hard,sexe picture,annuaire ,video sexe Dans une ambiance fébrile, je courrais à gauche, à droite, plantais des pitons dans la
poutre au milieu du living, vite quelques bougies, une assiette d’apéritif, une bouteille, des verres, et
pour terminer : un petit bain, Ouf ! Le plus gros était fait, maintenant la touche finale et la
plus palpitante : moi ! Il me restait une petite heure avant qu’elle ne rentre. Après avoir
étalé le contenu de nos caisses sur la table du living, j’optais pour la petite tenue grecque : quelques
bijoux et chaînettes, ainsi qu’une paire d’escarpins blancs, allaient compléter le costume. Je me sentais
légère dans cette tenue, prête à me dévoiler et surtout m’envoler
…
Les bracelets pour mes chevilles et poignets étaient confortables,
garnis à l’intérieur de feutre et à l’extérieur d’un crampon,
furent faciles à poser mais il restait le problème de m’attacher seule ! J’avais pensé me mettre en
croix, ainsisexe gratuit, deux fines chaînes à larges maillons descendaient des pitons fixés à la poutre et
deux autres au sol se rejoignaient presque, écartées d’un mètre ce qui devait être suffisant et ne me
causerait pas trop de tiraillement. Cristel arriverait dans 15 bonnes minutes, il était temps de
m’installer ; un dernier coup d’œil pour voir si je n’avais rien oublié car après il serait trop
tard ! Une fois attachée, il me serait difficile, sinon impossible de me libérer seule ! Les
lumières tamisées, les verres, tous nos joujoux exposés sur la table, la clé retirée de la serrure,… je
pouvais y aller ! Pas de problèmes pour les chevilles et, comme il me semblait qu’il y avait encore de
l’aisance, je les attachais quelques maillons plus loin, puis je fis passer très aisément le crampon de mon
poignet gauche dans un maillon, pour la main droite cela était plus ardu, la chaîne se balançait quand
j’essayais de m’y accrocher, cela me faisait penser à la pêche au canard dans les fêtes
foraines. M’étirant le plus possible et sur la pointe des pieds, il
me fallut plusieurs tentatives avant d’y parvenir mais de me rendre compte aussi que j’avais choisi un
maillon trop haut et que je me retrouvais maintenant tout à fait écartelée, sans plus aucune liberté de
mouvement ; je tentais vainement de décrocher l’une ou l’autre main mais en vain. Résignée, je me
laissais aller, heureusement que les bracelets étaient renforcés de mousse et que Cristel n’allait pas
tarder…
Les minutes qui passaient, me semblaient durer des heures et des idées saugrenues me traversaient l’esprit :
« Et si Christel ne rentrait pas,
si elle avait eu un empêchement ou un accident, et si elle revenait avec des collègues… ». Je tentais encore désespérément de me libérer quand j’entendis du bruit à la
porte : c’était « elle » sexe gratuit!
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