Nouveu départ confession
nues salopes
Divorcé depuis quelques années, je vis dans mon pavillon de banlieue avec ma fille
Noémie. Celle-ci vient tout juste d'avoir 18 ans et pour son anniversaire elle souhaitait réunir toutes ses copines
et ses copains pour une grande "teuf". Chose dite chose faite. Nous avons aménagé notre sous-sol pour accueillir
tout ce petit monde. Tout avait été bien préparé : la musique, les boissons, le petit canapé lit pour celles ou
ceux qui ne seraient pas capables de rentrer chez eux après la fête. La fête il y en eut. Une trentaine de jeunes
répondirent à son invitation, moitié filles, moitié garçons. Les libations que nous leurs avions préparées ne
semblaient pas suffisantes car pendant la soirée que je passais à faire le service, je vis pas mal de pétards
circuler.salopes Ce ne fut que vers 5 heures du matin, tout le monde était encore là que je décidais de les laisser
seuls pour aller me coucher. En effet le sommeil eut vite raison de moi et je m'endormis en entendant au loin les
derniers échos de la musique. Je ne peux pas dire depuis combien de temps j'étais couché quand je senti dans mon
dos une petit souffle léger dans ma nuque et le ventre chaud de quelqu'un qui se blottissait contre moi. Je passais
une main dans mon dos et, oh surprise ! Je tombais sur une toison toute humide. Je voulus me retourner pour allumer
la lumière mais une petite voix me dit " chut ! laisse éteint". Aussitôt je sentis une main s'aventurer pardessus
mon bassin et chercher mon sexe. Je ne bougeais pas, mais dans ma tête je me demandais quel âge pouvait avoir ma
visiteuse, je ne voulais surtout pas d'ennuis avec une fille mineure. Je demandais "quel âge as-tu ? ".
salopes "Ne t'en fait pas, répondit-elle, je suis plus que majeure". Je ne
cherchais pas à vérifier. Après tout je n'avais rien demandé à personne. Et la petite main trouva rapidement ma
queue qui se gonfla. Je la sentit me chevaucher pour passer de l'autre côté de moi et se recroqueviller pour avaler
mon sexe qui grossissait de plus en plus. Elle était experte et certainement pas à son coup d'essai. Elle me suçait
le gland tout doucement en le tenant dans sa main et de l'autre elle explorait le petit filet entre mes couilles et
mon anus. Puis tout doucement, sans arrêter de me pomper, son doigt dessinait de petits ronds autour de mon
orifice. Je commençais à venir, ma respiration se faisait plus saccadée. Soudain son doigt enduit de salive
s'enfonça dans mon anus. Celui-ci se dilatait un peu sous le malaxage et soudain se furent deux doigts qu'elle
introduisit. En même temps elle n'arrêtait pas de me pomper de plus en plus vite en me décalotte le gland au
maximum. partout.confession salopes Nouveu départ
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